Game Of The End
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 Ether L. Fiche de présentation [VALIDE]

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Ether L.
Gamer de Aliec L
Ether L.


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MessageSujet: Ether L. Fiche de présentation [VALIDE]   Ether L. Fiche de présentation [VALIDE] Icon_minitimeJeu 26 Nov - 12:56

Prénom: Emilie, elle à oublié le reste.

Pseudo in game: Ether L.

Age: 14 ans

Age in game: 15 ans

Sexe : Feminin

Type de personnage: Gamer

Classe du perso : Béluaire

Description physique :
Hors game, elle est une jeune fille ce qu'on peut appeler banal, de longs cheveux noirs qui barrent son front, un corps longiligne mais fermé, signifiant son refus d'appartenir au monde. Elle n'a jamais dans ce qu'elle peut faire, quelque chose qui se démarque, elle n'est rien qu'une fille banale, à une exception près. Ses yeux sont de la couleur de l'Ether, un ciel d'azur sans nuage pour l'obstruer, elle à donc choisit ce pseudo en entrant dans le jeu, on l'avait tellement comparé à ça. On peut lire un long chemin dans le regard de cette enfant, un long chemin où se sont multipliés les crevasses et les cailloux, et pourtant, malgré tout, il continue à frapper, incroyablement clair.
Dans le jeu, cela changera du tout au tout. Une exception près, ses yeux. Peut-être que ce seul trait qui lui appartienne véritablement est condamné à le suivre jusqu'a sa mort. Elle possède pourtant un changement radical, ses cheveux, autrefois noir comme l'encre, se sont éclaircis au point de prendre la teinte blanche du lait, sa taille à également augmenté, à se petite fille elle est pratiquement passée à jeune femme, ses formes se sont développés là où elles avaient toujours été inexistantes, cela la suprenant au départ, elle à cessé de trouver ça désagréable au fil du temps. Elle qui était dégoutée par l'acte de grandir trouve maintenant de nombreux avantages à cette forme. Elle n'a plus rien de la petite adolescente aux formes inexistantes, elle est maintenant une tueuse à part entière.

Caractère de votre personnage :
Déjà, les relations n'était pas son fort dans la vrai vie, elle a plutôt trouvé une résurrection en jouant à g-o-t-e. Taciturne et renfermé, ses yeux ont eut la chance de la laisser en vie, mais elle n'avait pas d'amis. Aucun. Sa maturité exagéré dans un corps trop enfantin faisait qu'elle dérangeait. Et elle s'en fichait.
Elle possédait néanmoins un atout dont elle ne s'était jamais servit, celui d'attendrir, grâce à ses yeux qui pouvait prendre jusqu'au coeur, au fin fond de l'âme. Il va sans dire qu'elle ne s'en était jamais servit, controler les gens ne fut jamais son fort, avant g-o-t-e. Toute petite, sa fascination pour les armes fit qu'elle se barda derrière une carapace imprenable, c'était terrifiant, elle ne ressentait rien. Elle s'amusait, ses parents s'horrifiait de voir quel monstres ils avaient créer. Mais ce monstre est encore en vie, contrairement à eux.
Pourtant, avec Aliec, elle sait sourire, c'est peut-être la seule personne qui a vu le véritable éclat de ses yeux. Cette personne à décuplé sa capacité d'amour de bonheur, en y repensant, elle est dépassée par l'impact que cette rencontre à eu sur elle.

Pourtant, son caractère à changé quand elle est rentré dans le jeu, elle est devenue courageuse et entreprenante, sachant se débrouiller seule et survivant à merveille. Elle a développé un amour pour le danger et peaufine un caractère jusqu'au bout-iste. Elle ne se laisse jamais abattre, même en situation perdue. Encore une fois, seul ses yeux montre la différence entre Ether et Emilie. La seule chose qui peut lui faire avoir peur, c'est la disparition d'Aliec, elle compte sur lui plus que sur quiconque, sans pour autant se reposer sur le CGI. Le fait qu'elle connaisse ses faiblesses en fait une jeune fille forte et décidée, à la tête de mule certaine fois


Hobbies: Jouer a G-O-T-E

Histoire :
Sa mère fut une danseuse étoile, adulée par la foule, d'une grâce incomparable. Elle dansait sur les plus grandes scènes, un rien suffisait à la faire voler. Elle était la plume et le plateau était le corps brulant qui lui servait d'appui dans les magnifiques arabesques que sont corps décrivait. Mais un jour, elle n'avait plus de 21 ans, elle fit une mauvaise chute, qui lui valut de ne plus jamais se relever. Ce jour là, elle mourut, ou du moins son visage mourut avec ses rêves.
Elle ne tarda pourtant pas à reprendre ce qu'on pourrait appeler une vie normale, elle se maria, mais n'était pas heureuse. Elle eut une fille, tous les amis avec qui elle s'était liée s'extasiait devant cet enfant si calme, aux yeux magnifiques, mais elle ne pouvait se résoudre à l'aimer, jamais elle ne la prit dans ses bras, jamais elle ne lui sourit. Son mari, en bon mari, s'appliqua à faire de même. Sans savoir pourquoi, la mère ne put donner de l'amour à sa fille, elle ne voyait en elle que la preuve de sa condamnation, une condamnation en fauteuil roulant, qui lui valait des larmes amères quand elle contemplait les magazines de danse dont elle faisait la couverture autrefois.

Pourtant, l'enfant, dans ses débuts, ne ressentit aucun manque, elle courrait dans les bras de ses géniteurs, et l'enfance lui fermait les yeux quand elle se trouvait repoussée. Elle grandit seule, sa taille et son poids demeurait navrant, sevrage d'amour oblige. La seule chose qui grandit chez elle furent ses yeux. Elle attirait tous les regards, mais fut bien obligé de se rendre compte que les seules paires d'yeux qui ne la regardait jamais étaient celles de ses parents, curieusement, elle n'en souffrit que très peu
Un jour, alors qu'elle regardait la télé, elle vit un de ces vieux films de gangsters, ceux où les hommes rit des autres, n'ont aucun scrupules et tuent sans même retenir leur souffle, ces films où les vieilles armes à feu font un bruit si tonitruant qu'on est obligé de sursauter à chaque fois. Elle fut fascinée par ces choses qui faisait tant de bruits. a 9 ans, il n'était pas sure qu'elle pouvait saisir la gravité de ce qui allait devenir sa passion. Le fait que son père soit policier joua surement dans son amour, elle pouvait le voir rentrer, sortir son arme et la ranger précieusement dans un coffre qu'il fermait toujours à double tours. Il ne parlait jamais de son travail.

Un jour, elle n'avait pas plus de 10 ans, elle rentra un peu tard, ou plutôt, elle ne retourna à sa maison que tard. Sa mère n'était pas venu la chercher, s'étant crue libre jusqu'à la fin de soirée, elle été partie se promener, mais elle n'aurait pu dire où, car en elle, il n'y avait pas de bonheur de liberté, mais une rage immense, dure à ce manque d'amour qui la tuait un peu chaque jour. Elle était au collège maintenant, c'était même son premier jours, et elle avait des milliers de choses à raconter à ses parents, alors pourquoi n'étaient-ils pas venu la chercher ? Elle resta un peu dehors, puis décida de rentrer pour délivrer son flot de nouveauté, elle ne le fit jamais.
En arrivant dans son quartier, elle vit plusieurs voitures stationnées, les girophares hurlaient et lui cassaient les oreilles. Elle voulut s'approcher de chez elle, on lui interdit.
Un ruban jaune enveloppait la maison et des dizaines de policiers et de scientifiques en blancs se pressait, elle hurla. Elle n'avait que trop connu ça à la télé.
Elle fut placée sans autre attente dans une maison d'accueil, elle n'avait aucune famille chez qui aller. C'était l'enfer, s'aurait été l'enfer, si Aliec n'avait pas été là.
Aliec fut son salut et sa rédemption, il l'aida à remonter alors qu'elle avait chuté au plus bas. Elle s'éprit immédiatement pour le garçon qui avait 4 ans de plus qu'elle.

Il devint son grand frère, son protecteur, elle le suivait comme une ombre, il lui sembla qu'il ne s'en plaignait pas.
Elle crut véritablement au bonheur, mais au fur et à mesure que les horreurs défilait devant elle, guerre, mort, sucide, viols, elle ne ressentait rien.
plus de 10 personnes passèrent dans la famille d'acceuil, tous avait des histoires horribles, mais elle s'en fichait, à vrai dire elle ne ressentait rien.
Un jour, elle était près d'un cours d'eau, c'était un petit étang assez profond, où elle aimait être seule. Il pleuvait abondamment et ses cheveux noirs étaient détrempés, l'eau rentrant jusqu'a dans ses vêtements. Elle se leva un peu trop brusquement, et la boue qui maculait ses chaussures la firent glisser. Elle tomba la tête la première, alors qu'elle arrivait au fond, plus lourde qu'une pierre, sa tête cogna le fond, s'ouvrant. Elle saigna beaucoup, le sang remontait en un mince filet jusqu'a la surface, et étrangement, elle prit du plaisir à se regarder mourir.
Puis soudain, un flash, elle fut renvoyée dans le passé si brusquement qu'elle faillit hurler. Elle se voyait, premier jour de son entrée au collège, furieuse de ne pas voir ses parents au portail. Elle avait courut jusqu'a chez elle, tout était normal, sa mère ne lui sourit pas et continua la cuisine, son père resta fixé à la télé. Elle mit des gants, alla dans l'armoire, prit le pistolet, et les tua tout deux. Après quoi elle s'enfuit dans la nuit naissante. Alors qu'elle courrait, elle tomba sur le sol, sa tête cogna également, et ce fut le noir.

Emilie se réveilla brusquement, Deux bras solides la tirèrent hors de l'eau, suffoquant, elle se rendit compte qu'elle avait faillit mourir, et que cette mort avait ravivé le souvenir qu'elle avait oublié, le jour de la mort de ses parents. Le premier coup sur la tête lui avait fait tout oublier, le deuxième lui avait tout rappelé. Elle tourna des yeux affolés vers Aliec, qui venait de lui sauver la vie. Sans lui laisser le temps de parler, sur sa chute et le reste, elle dit :
- Aliec... Je dois partir

Son grand-frère fronça les sourcils, il ne comprenait pas ? Elle s'expliqua :
- Si je ne le fais pas, je pourrais te tuer
- Me tuer ? Voyons Emy, qu'est-ce que tu racontes ?
- Je crois... Que c'est moi qui est tué mes parents, je viens de m'en souvenir, Aliec, toutes ces choses, que j'ai vécu, font que je peut tuer comme ça... Je ne veux pas te tuer.

Il fixa sur elle ses yeux interrogateurs, elle soutint son regard, gêné, il se détourna. Quand il baissa à nouveau les yeux, elle n'était plus là. Et elle ne revint jamais.
Inutile de lui demander ce qui s'est passé pendant deux ans, elle se souvient vaguement avoir traîné dans les coins les plus défavorisés de sa ville, s'être caché à la police qui la cherchait. On la tint pour morte, ça lui allait.
Son esprit était hanté par le dernier regard d'Aliec, elle devait le retrouver... A 13 ans, elle revint vers la maison qui l'avait hébergé, il n'y avait plus personne, juste un couple de personne âgée. Aliec était partit depuis longtemps.

Elle hurla, et son cri dura nuit et jour, son cri raisonna dans sa tête inlassablement, il lui manquait, où était-il ? Elle faillit tuer, bien plus d'une fois, elle ne le fit que trois. Ces meurtres dont elle ne se souvient même pas procurèrent un elle un vide dont elle avait besoin, elle avait besoin de ne rien ressentir, pour l'oublier, pour oublier quelle erreur elle avait faite. Elle en était maintenant sure, c'était elle qui avait tué ses parents.

Elle erra longuement dans la forêt, n'espérant pas trouver de protecteur, ne cherchant plus d'attache à ce monde. Quand elle croisa le chemin d'un loup, un simple loup, une femelle. Quand elle la croisa, la louve était assise, sur une bute de terre, bien que n'étant pas un loup, Emilie comprit qu'elle hurlait de douleur, et le cri perçant de la femelle lui déchira le coeur. Perdu entre les deux pattes protectrices de sa mère, un louveteau gisait, sans vie. Emilie observa la louve, elle l'observa des heures. Ce fut un des moments les plus fascinant de sa vie. Quand tout d'un coup, le vent changea de direction, les naseaux du loup se dilatèrent, elle tourna des yeux furieux dans sa direction.

Emilie tenta de reculer, mais savait que c'était inutile, un loup court plus vite, plus longtemps... Mais étrangement, la louve n'essaya même pas de courir. Intrigée, elle s'approcha même. Tétanisée, Emilie regarda l'animal lui tourner autour, elle n'osait plus respirer... Finalement, elle fit ce qui ressemblait à un haussement d'épaule et s'en alla dans le crepuscule naissant. Soupirant, Emilie s'écroula sur le sol.

Elle continua alors sa vie dans la forêt, et en quelques jours, ce passage s'effaça de sa mémoire, un peu. Mais un jours, alors qu'elle cherchait en vain quelque chose à manger dans ce début d'hiver, elle entendit un râle dans son dos, suivit d'un bruit de pas feutré, affamés. Elle se retourna, encore un loup. Mais il n'avait rien de la fine silhouette ambre de la femelle qu'elle avait croisé quelques jours auparavent. C'était un gigantesque loup noir, sa croupe devait bien depasser sa poitrine. Elle déglutit, ne bougea pas.
Il continuait d'avançer, dans ses yeux une lueur brillait, une lueur qui terrifia la jeune fille. Il tendit ses muscles, elle se recroquevilla. Quand il sauta, elle ne put d'hurler, impossible de partir, il se jeta sur elle. La jeune fille poussa un hurlement.

Mais ce n'était pas son heure, un éclat ambre parcourut la clairière où elle se trouvait et se jeta sur le grand mal, trouvant juste la force de dévier son bon de quelques centimètres, assez pour qu'il retombe lourdement sur le sol. Emilie roula sur le côté, hoquetant.
La louve était là, défiant le grand male, leurs deux poitrine étaient soulevés par leur respiration rapide, les poils ondulant sous le soleil froid de la fin de l'automne. Ils se regardèrent pendant plusieurs minutes, ces minutes semblèrent une éternité à Emilie.
Puis le male jeta la tête en arrière et hurla, s'en allant ensuite d'un pas tranquille.

Dès lors, ce fut comme si un lien unissait la louve et Emilie, elles prirent chacun un chemin différent mais il semblait à la jeune fille que partout où elle aille, deux yeux la scrutait, près à la defendre. Dès lors, elle fut plus sensible à la nature environnante, elle tuait pour se nourir, elle avait appris à le faire dans la foulée. Mais elle respéctait les animaux qui mourraient pour elle. Etrangement, elle ne voulait plus retourner en ville, alors qu'une jeune fille n'avait rien à faire en forêt, seule. L'hiver passa, elle se rendit compte qu'elle supportait très bien le froid. Elle était heureuse, à sa façon.

Mais un jour, l'été était là depuis longtemps, elle n'aurait pu dire depuis combien de temps elle survivait en forêt, elle trouva, derrière un arbre, le corps d'un loup.
Elle ne l'avait plus revu depuis ce fameux jours, mais avait passé des mois à ses côtés, car elles ne s'étaient jamais quittées. Elle ne mit pas plus d'une demi seconde à reconnaître la louve ambrée. Tétanisée, elle observa longuement le corps inerte, et semblable au premier jours de leur rencontre, elle hurla sa douleur, à la façon de cet animal.

Elle décida de retourner parmis les siens. Mais le retour fut trop dur, elle voulut fuir le monde,n'y parvint pas. Quand son regard croisa celui d'une affiche de GOTE. Ce jeu était parfait pour elle, non ? Elle y alla, sans but précis. Juste s'en aller, oublier.

Un obstacle se présenta, elle voulait être gameuse, mais n'avait pas de CGI. En voyant à quel point cela lui importait peu, on en chercha un dans le même état d'esprit qu'elle. Heureusement, une autre personne s'était présenté sans partenaire, un CGI. Décidant électroniquement de les mettre ensemble, ils furent envoyés tout deux dans le jeu. Tellement de personne furent dans le même cas que personne ne s'en souvient, et aucune trace de ce choix décisif fut gardé dans les ordinateurs du créateurs.

Voyant qu'on lui avait donné un jeune homme de 17 ans, Emilie se souvint que c'était exactement l'age qu'Aliec aurait du avoir. Les souvenirs revinrent en masse... Aliec, lui non plus elle ne l'avait jamais oublié, il l'avait toujours accompagné, à sa façon. Elle était en train de se dire qu'elle devait retourner sur terre, pour partir à la recherche du garçon. Puis il lui dit son pseudo.
Ses grands yeux ouverts de surprise, elle lui sauta au cou... Et se retrouva dans la fontaine. Il était immatériel, mais il était là. C'était Aliec, elle l'avait retrouvé, enfin, elle était heureuse. Depuis, elle ne se souvient plus du visage de ses parents, s'est fondu dans g-o-t-e au point d'oublier le reste. Qu'importe, elle est avec Aliec.

Elle trouva une énorme hache, qui allait à merveille avec l'idée qu'on pouvait se faire de la jeune fille qu'elle était. Elle aimait les contradictions, et cette arme presque aussi haute qu'elle était parfaite. L'affinité qu'elle avait développé avec la nature pendant ses années d'errances fut mises à profit, elle comprenait les animaux mieux que personne. N'avait pas besoin de les voir pour sentir leur présence. Elle était avec Aliec, elle était dans ce jeu, elle ne partirait plus.


level: 1

Alignement : Neutre

code : Ok by Sei


ET VOUS ?


_ Prénom / pseudo : Eléa, Yuyu, Patate

_ Age : 15 ans

_ Est-ce votre premier rpg ? : hon x) loin de là !


Dernière édition par Ether L. le Lun 21 Déc - 15:36, édité 5 fois
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Sei
Joueur originel/gamers de Trazer/fondateur/maitre de la guilde X-Ray
Joueur originel/gamers de Trazer/fondateur/maitre de la guilde X-Ray
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